top of page

Philosophie

Une architecture basée sur le dialogue

 

Un projet d’architecture réussi est toujours le fruit d’un dialogue nourri entre un maître d’ouvrage éclairé et son architecte. Un projet est le fruit d’une rencontre et d’un échange, d’un une aventure humaine déterminante, dans laquelle chacun écrit une partie de l’histoire.

 

La valeur d’usage de l’objet architectural impose aux architectes, de savoir répondre avec rigueur et efficacité à des données de programmation fonctionnelles, spatiales, techniques, économiques, ergonomiques voulues par la maître d’ouvrage. Ainsi il est à l’écoute des besoins et responsable de les traduire par un projet répondant à un cahier des charges, exprimant des besoins, des attentes, des goûts, des modes de vie, des évolutions possibles.

 

Une architecture contextuelle

 

L’architecture n’est pas seulement l’écriture de code pré-établies. Elle est contextuelle, attentive à la singularité d’un lieu.

 

L’architecte  s’attache à lire la topographie du site, à la révéler, à utiliser son orientation comme un appui naturel, accompagner son histoire et la retranscrire de manière contemporaine, s’appuyer sur le climat, se laisser porter par la lumière. Il s'insère dans un environnement culturel, géologique, climatique, urbain, historique. Il faut puiser dans toute la réalité d'un lieu pour générer un projet.

 

A une échelle plus vaste, celui du territoire, dans lequel l’objet architectural vit, évolue et parfois meurt, se construit un défi plus ambitieux et encore plus difficile : celui de l’écriture de la ville, du vivre ensemble.

 

Une architecture innovante

 

L’architecture doit être porteuse de sens. Elle ne doit pas se borner à une résultante des contraintes réglementaires, urbaines, écologique qui tendent à réduire son expression. Elle ne peut pas se réduire à des codes esthétiques établis, résultant d’une mode, d’un style local. Elle ne peut correspondre à des modèles programmatiques figés, standardisés.

 

En s’attachant à certains thèmes architecturaux, tels que la relation à l’usage, le rapport intérieur-extérieur, l’épaisseur, la matérialité, l’espace et son expérimentation, le seuil et la notion de passage,  l’échelle, la flexibilité, la modularité, l’évolutivité ; il est possible d’élever l’architecture au-delà d’une fonction ou d’un ornement. Il est possible de sublimer l’architecture.

 

Une architecture durable

 

L’intégration des enjeux environnementaux est fondamentale. L’architecture est aujourd’hui contrainte à des exigences environnementales réglementaires de plus en plus contraignantes.

 

Au-delà de ces contraintes, la qualité environnementale doit devenir une des composantes de la qualité globale d’un projet, au même rang que les performances et les qualités techniques, architecturales, fonctionnelles et économiques du projet.  Cette préoccupation doit être constante en amont du projet dans les prémices de la conception  et tout au long du processus jusqu’à la réception des travaux.

 

En ayant une démarche environnementale intégré et transversale, il est possible de valoriser des solutions passives tout en respectant le projet architectural.

 

Une architecture responsable

 

Le projet architectural fait intervenir de nombreux acteurs. L’architecte intervient comme le coordonnateur des différents intervenants de la conception à la livraison. L’architecte s’entoure des compétences nécessaires au bon fonctionnement du projet et  effectue la synthèse des contraintes

 

Les enjeux financiers sont  plus que jamais prépondérants. L’architecte doit être le garant de l’économie du projet, du calendrier du projet.

 

 

 

En s’appuyant sur le contexte, ses connaissances techniques et réglementaires et sa sensibilité architecturale, l’architecte peut prétendre à un  domaine de compétence élargi. Il doit pouvoir être amené  à travailler sur tous les usages, tous les contextes et toutes les échelles.

bottom of page